La Bolivie

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ACHATS

Vous trouverez dans les villes (La Paz, Sucre, Potosí et Santa Cruz) d’assez beaux objets d’artisanat bolivien. Outre les incontournables llu’chus (les bonnets andins) et les t’ilinchos (figurines en céramique), nous vous conseillons les tissus des Andes ou d’Amazonie : un Macha de Potosí, un Charazani de La Paz et surtout un tissu j’alqa ou tarabuco de Sucre, vrais chefs-d’œuvre d’art textile.

A La Paz, la rue Sagarnaga offre d’intéressantes boutiques d’artisanat. Il y a aussi les magasins pour touristes pressés mais ce ne sont pas ceux-là que nous vous conseillons.

A Potosí, faites un petit tour dans le “mercado artisanal” et à Sucre, allez au musée du projet Asur (J’alqa-Tarabuco) : on y trouve les plus beaux tissus de Bolivie. Les plus somptueux coûtent 300 US$, mais à partir de 20 US$, on en trouve de ravissants.

A Santa Cruz, la spécialité est le bois. Le magasin “Arte Camba” propose les plus belles répliques d’objets des missions jésuites. Quant aux amoureux de couleurs, ils ramèneront une “mesa” de la Calle Linares (la rue des sorciers), à La Paz.

La mesa est le kit des monts et merveilles, nécessaires pour honorer la Pachamama, lors du rite de la challa. Sachez que la mesa comprend un fœtus de lama (âmes sensibles s’abstenir). La Bolivie est aussi le pays des chapeaux et des masques, ces masques portés traditionnellement par les danseurs boliviens.

ALCOOL

La Bolivie possède une vraie culture alcoolique (on l’appelle “cultura chupistica”). Toute occasion est bonne pour boire un “Chuflay” ou une “Paceña” (la bière la plus répandue).

Ce phénomène de société présente autant d’aspects intéressants que de conséquences négatives pour le pays. Car si l’on tient compte des innombrables fêtes, on finit par boire tout au long de l’année.
Il faut donc avoir une bonne descente lorsqu’on accepte une invitation. Dans les villes, l’alcool est l’expression du côté machiste de la société bolivienne.

Dans les campagnes, la consommation d’alcool est liée aux rites des religions animistes des Andes et d’Amazonie. Ne pensez surtout pas que tous les Boliviens sont des alcooliques, seulement ils aiment boire et faire la fête presque autant que les Bretons !

ALTIPLANO

Au sud du Pérou, la Cordillère se divise en deux pour donner naissance à la cordillère Royale et à la Cordillère occidentale.

Entre ces deux cordillères, en plein cœur de la Bolivie, émerge un immense espace à plus de 3.600 mètres d’altitude, l’Altiplano, mystère géologique peuplé de légendes. Terres des Aymaras et des Quechuas, l’Altiplano est le vrai cœur de la Bolivie et de l’Amérique du sud.

ALTITUDE : le « Soroche », mal des montagnes

Le premier jour, vous serez certainement affectés par l’altitude. Les symptômes habituels sont : migraine, manque d’appétit, fatigue. En général, ces effets s’estompent rapidement (au bout de 1 ou 2 jours selon les personnes) à condition de respecter un certain calme et une dose d’efforts raisonnables.

N’hésitez pas à boire beaucoup d’eau , des tisanes de coca (maté de coca), de gérer vos efforts (pas d’effort brusque), éventuellement à prendre une aspirine en début de journée pour fluidifier votre sang.

AMAZONIE

On oublie souvent que près des deux tiers de la Bolivie se trouvent en Amazonie. L’Amazonie, quant à elle, regorge de diversités de paysages. Bien sûr, on y trouve la forêt primaire mais aussi la pampa, grandes étendues « ouvertes », idéales pour l’observation de la faune.

Le parc national de Madidi, véritable porte d’entrée vers l’Amazonie possède l’écosystème le plus riche au monde, de part son étagement depuis le niveau de la mer jusqu’à 5.000 mètres d’altitude.

ANDES

Dieu est loin et nous devons négocier avec ses intermédiaires, les montagnes.
Malgré ce proverbe Aymara, les autochtones de la Cordillera Real n’ont jamais été réellement attirés par les hauteurs. Même aujourd’hui, rares sont les boliviens que l’on rencontre en hautes altitudes.
Pour eux, la montagne demeure une divinité qu’il faut respecter, un voisin qui mérite des offrandes quand on ose le déranger.

Et pour ces « gringos » étranges qui s’aventurent jusqu’à son sommet ? Forcément, ils vont y chercher de l’or mais ils n’en parlent à personne…

ARTISANAT

L’artisanat de n’importe quel lieu du monde est une expression culturelle, qui chaque jour acquiert de nouveaux adeptes ; ceux qui apprécient le travail manuel et personnalisé.

Quand le touriste étranger arrive en Bolivie, il peut trouver une grande variété d’articles artisanaux à des prix justes : des articles de décoration, des habits et accessoires confectionnés par des associations d’artisans, composées en général de familles entières, qui ont trouvé dans la pratique de cet art une manière de générer des revenus. C’est ainsi que des milliers de familles boliviennes se nourrissent chaque jour grâce à l’artisanat.

un des habits les plus connu pour combattre les basses températures de la région de l’Altiplano est bien sur le poncho. D’origine préhispanique il est apparu sous le nom de « Unku ».

Un autre élément très fortement employé dans la confection de pièces artisanales est l’aguayo, un tissu typiquement andin, d’origine précolombienne également et avec une énorme charge culturelle. Chaque aguayo raconte une histoire ; la trame du tissu, les couleurs, les fils, les dessins, etc. en disent long sur les personnages, les habitations et le mode de vie des communautés et des tisserands.

ATTITUDE

Les voyages forment et instruisent, et pas seulement la jeunesse ! C’est encore plus vrai lorsqu’il s’agit d’un pays du tiers monde, où, en tant que touriste, vous serez confronté à des situations inhabituelles pour un Occidental. Tout d’abord, soyez patient : les horaires et le temps n’ont pas ici l’importance qu’on leur prête en Occident.

En Bolivie, le temps passe plus lentement. Les retards, ces cadeaux que nous fait le temps, font partie du paysage quotidien des transports terrestres. Il faudra préparer des itinéraires de voyage élastiques, avec un ou deux jours de marge au cas où. Inutile de vous fixer un timing serré : vous risquez de ne pas profiter du pays ou de rater votre avion.

Par ailleurs, n’oubliez pas qu’en arrivant d’un pays industrialisé vous vous trouverez parmi des gens aux revenus modestes. Soyez respectueux des coutumes des Boliviens, de leur pauvreté. Un sourire ou un stylo pourront, sans doute, faire plus de bien que quelques centimes ou des gourmandises (d’ailleurs pensez que dans les campagnes reculées le dentifrice ou le dentiste n’existent pas).

Retrouvez l’esprit de la Renaissance, partez à la découverte d’horizons inconnus, de fêtes uniques et originales. La Bolivie vaut sans doute bien plus par sa culture et par ses hommes que par son fabuleux trésor de Potosí.

CINEMA

Cinéphiles du monde, unissez-vous ! Allez à la Cinemateca Boliviana, à La Paz, ou à l’Institut ibéro-américain de Santa Cruz (seulement le mardi à 20h).

Il faut aussi guetter les festivals de cinéma à la Casa de la Cultura où des cycles de cinéma européen sont souvent organisés. Mais surtout, ne manquez pas les films du réalisateur bolivien Jorge Sanjines (Yawar mallku, La Nation clandestine).

Ce sont de véritables chefs-d’œuvre. A La Paz, il reste deux salles de bonne qualité : Monje Campero et 16 de Julio.

Quant aux “blockbusters” américains, on peut les voir trois ou quatre mois avant leur sortie en salle en Europe (en anglais, sous-titrés en espagnol), pour moins de 4 euros.

COCA

La feuille de coca, bien sûr, dont la culture est ici traditionnelle.

De tous temps en effet, les mineurs et les paysans du haut plateau ont tiré profit, pour supporter leur labeur et la rudesse du climat, de ses propriétés anesthésiantes et coupe faim. Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui oublient ces vertus ancestrales pour l’assimiler à la cocaïne. Elle est au centre de la politique et du destin du pays. D’un coté, les pressions américaines pour éradiquer les champs de coca. De l’autre, la pression populaire qui vient de placer à la deuxième place des élections présidentielles de juin 2002 Evo Morales, le défenseur des « cocaleros ».

La Bolivie ne produit “que” 30 % de la production mondiale de feuilles. Néanmoins, le phénomène de la drogue pollue de plus en plus les cercles politiques traditionnels en gangrénant une partie de l’establishment” bolivien.

Ainsi, de graves accusations de corruption ont été portées contre l’ancien président Jaime Paz Zamora (1989-1993), lequel, lors de l’Exposition universelle de Séville, avait déclaré que “coca n’est pas cocaïne” et avait voulu démontrer l’inocuité des feuilles en les apportant sur place. Il est vrai que la feuille consommée depuis près de deux mille ans par les Tiwanakotas et les Incas ne possède que d’infimes quantités d’alcaloïde.

La coca était alors considérée comme un complément nutritionnel – on ignore ou l’on feint d’ignorer que la consommation de coca, en dépit de son goût amer, apporte des sels minéraux et des calories à l’organisme – et revêtait aussi un caractère mystique.

Ce seront les Espagnols et le “boom” des mines de Potosí (explosion en quechua) qui vont relancer les cultures de coca, interdites depuis le début de la colonisation par l’Eglise catholique en raison de leur élément religieux. L’intensif travail dans les mines, le besoin toujours croissant de main-d’œuvre, relancent la culture de la coca (dans les Yungas) et permettent de faire d’une pierre deux coups : on augmente la productivité du travail en même temps que l’on vend aux mitayos (les mineurs de l’époque) les précieuses feuilles.

Ce qui s’appelle en microéconomie de cuisine “avoir le beurre et l’argent du beurre”.

Quelques années plus tard, alors que Freud dévoile les “vertus thérapeutiques” du sulphate de cocaïne et que Paris boit le vin de coca de Mariani, on est loin d’imaginer que ces découvertes de la “Belle Epoque” vont engendrer deux phénomènes de société du XXe siècle.

Le Coca Cola d’abord, ”le symbole du XXe siècle” selon Eduardo Galeano, et la paranoïa de la déesse blanche qui atteint son faîte dans les années des “golden boys” et du scandale Iran-Contras aux Etats-Unis.

Justement, ce sont les mêmes qui, pour des motifs de raison d’Etat (voir les ouvrages d’Alain Labrousse) ont ouvert les portes à l’une des plus meurtrières des drogues, qui accusent aujourd’hui les pays andins d’être les nouveaux “empires du mal”.

En oubliant que le problème de la cocaïne, comme de tout bien qui existe dans une société de consommation, est économique. Alain Touraine ne croit pas si bien dire lorsqu’il affirme que les tensions du marché de la drogue sont la meilleure illustration de la loi de l’offre et de la demande.
Ceux que le sujet intéresse liront avec profit : La coca et la cocaïne, Denis Richard, Coll. Que sais-je ?, numéro 2920, PUF, 1994

CONCERTS

Il est possible d’assister à des bons concerts de musique bolivienne, tout au long de l’année, dans les peñas, les maisons de la culture ou les théâtres locaux.

Les grands groupes comme “Los Kjarkas”, “Savia Andina”, “Altiplano”, “Jacha Mallku”, “Rumillajta” se produisent souvent en période de Noël et pendant les mois de juillet-août.

CONTRASTES

Sa géographie d’abord. Grande comme deux fois la France, la Bolivie propose une diversité incroyable. Altiplano, Llanos, Titicaca, Yungas, Lipez, Amazonie, autant de noms pour des paysages sans rapport les uns avec les autres.

Haut plateau perché à 4000 mètres et entouré de sommets culminant a plus de 6000 mètres d’altitude, plaines infinies se perdant aux confins du Brésil et de l’Argentine, désert de pierres et de volcans où les températures peuvent osciller entre + 20 et – 25 degrés en l’espace de 24 heures, vallées intertropicales a la douce moiteur…

Il n’est pas rare de commencer une journée sur un glacier, à plus de 5.000 mètres d’altitude, et de la terminer au bord d’un torrent, un jus de papaye à la main en écoutant le chant des perroquets.

DELINQUANCE

La Bolivie est un pays sûr, d’après certains le plus sûr d’Amérique latine. Malheureusement, il est souvent assimilé à des voisins moins rassurants comme la Colombie, le Pérou ou le Brésil.

Cependant, certaines précautions s’imposent contre la petite délinquance depuis quelques années, suite à la crise économique qui sévit dans les grandes villes. C’est ainsi que de faux flics ripoux vous interpellent, souvent tôt le matin, dans des rues de quartiers populaires (près des gares), et prétendent vous conduire au poste pour une vérification de papiers. Une fois dans le taxi, ils vous dépouillent de votre argent.

Ce type de séquences, bien que rares, peuvent arriver parfois aux étrangers qui voyagent seuls. A cela, un remède : la dérision ou une attitude un peu violente, qui décourageront le voyou. Quant aux vols d’objets personnels, c’est comme partout dans le monde, dans les trains, les bus de nuit, les gares ou certaines rues du centre-ville. Des lecteurs ont rapporté des vols dans les gares d’Oruro. Dans les gares routières, méfiez-vous des “accommodateurs” de passagers. Attention donc !

Quoi qu’il en soit, il vaut mieux prévenir que guérir : souscrivez, avant votre départ, une assurance qui couvrira aussi vos bagages, même si, en Bolivie, il y a fort peu de chances qu’elle serve à quelque chose…

DROGUE

Janiwa ! (aymara), Mana ! (quechua), No ! (espagnol). Tout simplement non ! L’article de loi 1008 punit sévèrement les personnes qui détiennent de la drogue, ne serait-ce qu’en petites quantités.
Il est néanmoins permis de ramener du Maté de Coca, la tisane de Coca (de quoi se faire une ou deux infusions en souvenir… pas des kilos !).

Nous renvoyons les irréductibles au magazine de France 2, Envoyé Spécial, et à son reportage sur les impitoyables conditions de détention dans les prisons de Cochabamba et Santa Cruz.

ETUDIANT

La carte d’étudiant peut vous servir à obtenir des réductions sur les vols intérieurs. Dans votre pays d’origine, elle permet d’acheter la carte IHYF pour les auberges de jeunesse boliviennes (voir “La Paz”).
Quant aux musées, ils sont tellement bon marché que toute réduction devient inutile.

FUTBOL”

Santa Maradona, priez pour nous ! En Bolivie, le “futbol” tient la place d’une vraie religion. Surtout depuis que l’équipe nationale du Diable Etcheverry et des Platini Sanchez, Cristaldo, Moreno et autres jeunes étudiants issus de l’académie Tahuichi Aguilera de Santa Cruz ont conduit le pays à la Coupe du Monde USA 94.

Le rendez-vous suivant en Bolivie, fut celui de juillet 1997 pour la Copa America de Futbol, une belle occasion de voir la Bolivie donnant l’un des plus beaux matchs de ces dernières années, perdant la finale contre le Brésil…

Vous pouvez assister à un derby Bolívar-The Strongest à La Paz ou à un San José-Wilstermann à Oruro. Histoire de vous mettre un peu l’eau à la bouche, même si vous n’êtes pas un amateur du calibre du “fusil”, le supporter n° 1 du club Destroyers de Santa Cruz, qui n’a pas raté un seul match de foot depuis vingt ans (vous pouvez rencontrer le “fusil” au stade de Santa Cruz les jours de foot ; il porte une chemise jaune et noire, le drapeau de son équipe, celui de Santa Cruz et celui de la Bolivie…).

GARES

Les gares routières, nommées terminal de bus, sont les points de départ et d’arrivée des bus locaux (à quelques rares exceptions près). Relativement bien organisées, elles présentent des guichets de toutes les compagnies, où sont indiqués horaires et destinations.

On y trouve aussi parfois un bureau de poste et des cabines Entel. La mieux administrée est celle de Cochabamba qui dispose même d’un distributeur automatique de billets Enlace.

HEURES D’OUVERTURE

En général, du lundi au vendredi, de 8h30 à 12h et de 14h à 18h30 pour les commerces et les administrations. Les banques ferment entre 16h et 17h. Dans les villes de l’Oriente et à Tarija, l’activité ne reprend que vers 15h, chaleur oblige.

HORA BOLIVIANA

Autrement dit, pour la majorité des Boliviens, la ponctualité n’est pas un impératif catégorique. Lorsque vous prenez un rendez-vous avec quelqu’un, précisez toujours s’il s’agit de la hora boliviana (+ 30 mn d’écart) ou pas.

HOSPITALITÉ

Un dicton de Santa Cruz dit “es ley del cruceño la hospitalidad” : pour les Cruceños, l’hospitalité est une loi. Néanmoins nous pouvons dire que cette règle d’or, mutatis mutandis, s’applique à la Bolivie tout entière. Si l’hospitalité est une loi, vous y aurez certainement droit.

Toutefois, comme toute loi, elle a son exception : elle ne s’applique pas au “gringo” typique.

MARCHANDAGE

“Rébajame Casero (ou Casera) !”

Cette expression permet d’établir un lien de confiance avec le commerçant, tout en demandant une ristourne. Le marchandage fait partie des mœurs boliviennes, mais les réductions consenties ne dépassent que très rarement 25 % du prix initialement annoncé.

Cependant, ne cherchez pas à dévaluer le prix de l’artisanat local, sa survie en dépend. Il y a quelques années, de nombreux “chercheurs” nord-américains ont commencé à acheter des j’alqa (les meilleurs tissus de la Bolivie) à 5 dollars la pièce, car les paysannes ignoraient la valeur réelle de leurs produits. En fait, ces pièces valaient cent fois plus.

Les Américains en question leur ont d’ailleurs consacré un musée à San Diego. De plus, les tissus j’alqa ont failli disparaître à jamais de la culture bolivienne, les femmes de la région ayant besoin de disposer de modèles antérieurs pour assurer le continu de leur fabrication.

Voilà encore un enchaînement de faits qui confirme qu’on ne saurait cueillir une fleur sans déranger une étoile.

MEDIA

Nous parlerons de la presse écrite avant tout. Pour à peine 80 000 lecteurs potentiels, la Bolivie possède une presse écrite sérieuse, d’un style proche de son voisin le Chili, très peu de presse à sensation, plutôt des journaux “politically correct”.

A ceux qu’un voyage d’affaires amène en Bolivie, nous recommandons vivement Nueva Economia, un hebdomadaire d’économie et de management, dans la lignée du magazine français L’Expansion.
Le journal Presencia, de La Paz, garde une ligne catholique de gauche, un peu à l’image du Monde.
La Razón est identifié au milieu d’affaires bolivien et produit tous les jours un supplément Economia y Negocios assez complet. Ses équivalents sont El Deber à Santa Cruz et Los Tiempos à Cochabamba.

A Potosí, l’institution journalistique est El Siglo. Enfin, depuis deux ans, circule en Bolivie un hebdomadaire en anglais de fort belle présentation, The Bolivian Times. Vous y trouverez toute l’actualité touristique ainsi qu’en dernière page une rubrique expos-musées-concerts.